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BARKHANE : Maréchal des logis Jonathan, chef de patrouille engagé dans la formation des FAMa

MIL OSI Translation. Region: France and French Territories –

Source: Republic of France in French
La République française a publié la déclaration suivante: Le groupement tactique désert (GTD) « Dragon » s’est appuyé sur l’expérience de ses soldats pour former une unité légère de reconnaissance et d’intervention (ULRI) des forces armées maliennes (FAMa). Rencontre avec le maréchal des logis Jonathan, pour évoquer cette formation qui relève du partenariat militaire opérationnel (PMO) à l’œuvre entre Barkhane et son partenaire malien.

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La Dirección de Asuntos Migratorios, Consulares y Servicio al Ciudadano de la Cancillería comparte los canales de atención para colombianos residentes en el exterior que sean víctimas del conflicto armado

MIL OSI Translation. Region: Spanish/Latin America/UN –

Source: Republic of Colombia

Bogotá (abr. 2/20). La Dirección de Asuntos Migratorios, Consulares y Servicio al Ciudadano del Ministerio de Relaciones Exteriores informa a los connacionales víctimas en el exterior, que debido a la emergencia sanitaria internacional declarada por la Organización Mundial de la Salud (OMS) debido a la pandemia del COVID-19, La Unidad para las Víctimas y la Unidad de Restitución de Tierras han dispuesto los siguientes canales de atención:

La Unidad para las Víctimas dispuso servicios virtuales para solicitud de información desde la página web www.unidadvictimas.gov.co, como lo son el chat web, la videollamada, la auto consulta telefónica y el chatbot SMS (chat por medio de mensajes de texto al código 87305 desde la página y/o desde cualquier celular).

Además, la Unidad para las Víctimas atenderá las peticiones, quejas, reclamos y sugerencias de la ciudadanía a través del correo electrónico [email protected]

Por su parte, la Unidad de Restitución de Tierras mantiene sus canales virtuales, a través del correo electrónico [email protected], los connacionales podrán realizar sus solicitudes, agendamiento de toma de declaración y procesos de ampliación de información sobre el estado de sus procesos.

Con respecto, a las peticiones, quejas, reclamos y sugerencias los ciudadanos podrán remitir estos por medio del enlace: https://pqrs.restituciondetierras.gov.co/pqrs_web/

Así mismo, se reitera el compromiso de los consulados para atender las solicitudes de nuestros connacionales víctimas en el exterior, para mayor información sobre horarios y canales de atención los invitamos a consultar la página del Consulado más cercano.

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Pandémie de COVID-19 : plus faible croissance dans la région Asie-Pacifique depuis les années 1960

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Source: IMF in French

(photo : Amphol Thongmueangluang/Zuma Press/Newscom)

Pandémie de COVID-19 : plus faible croissance dans la région Asie-Pacifique depuis les années 1960

Chang Yong Rhee

le 15 avril 2020

Nous subissons une crise sans équivalent. Elle est pire que la crise financière mondiale et l’Asie n’est pas épargnée. Tandis que les perspectives de croissance pour 2020 et plus encore pour 2021 sont extrêmement incertaines, le choc provoqué par le coronavirus à l’échelle régionale sera, sur tous les plans, violent et sans précédent.

En Asie, la croissance devrait rester bloquée à 0 % en 2020. Il s’agit du plus mauvais résultat depuis près de 60 ans, y compris par rapport à la crise financière mondiale (4,7 %) et la crise financière asiatique (1,3 %). Pour le moment, l’Asie paraît tout de même s’en sortir mieux que d’autres régions pour ce qui est de l’activité.

Les révisions à la baisse sont considérables : de 3,5 points pour la Corée, qui a semble-t-il réussi à freiner la propagation du coronavirus tout en réduisant au minimum les arrêts de production prolongés, à plus de 9 points en Australie, en Thaïlande et en Nouvelle-Zélande, toutes frappées par le ralentissement du tourisme mondial et, dans le cas de l’Australie, par la baisse des prix des produits de base. Les pays insulaires du Pacifique font partie des pays les plus vulnérables de la région du fait de leur espace budgétaire réduit et de leurs infrastructures sanitaires relativement peu développées.

Double ralentissement

Outre l’incidence des mesures de confinement et de distanciation sociale prises au niveau national, deux facteurs essentiels déterminent les perspectives du continent asiatique :

  • le ralentissement mondial : l’économie mondiale devrait se contracter de 3 % en 2020 ; cette récession, la pire depuis la Grande dépression, est une contraction synchronisée, un arrêt brutal de l’activité dans le monde. Les principaux partenaires commerciaux de l’Asie devraient connaître une forte contraction de leur économie, y compris les États-Unis (6,0 %) et l’Europe (6,6 %).
  • le ralentissement chinois : en Chine, la croissance devrait fléchir de 6,1 % en 2019 à 1,2 % en 2020, soit une variation considérable par rapport aux résultats mesurés pendant la crise financière mondiale : en 2009, le taux de croissance avait peu varié, à 9,4 %, grâce à une forte relance budgétaire d’environ 8 % du PIB. Aujourd’hui, une relance budgétaire de cet ordre n’est guère probable et la Chine ne soutiendra donc pas la croissance asiatique comme en 2009.

Les perspectives pour 2021, bien qu’extrêmement incertaines, laissent entrevoir une croissance vigoureuse. Si les mesures d’endiguement portent leurs fruits et que d’ambitieuses mesures de relance permettent de limiter les « séquelles », la croissance asiatique devrait fortement se redresser, plus encore que durant la crise financière mondiale. Il faut néanmoins se garder d’un excès d’optimisme. La pandémie n’en est pas au même stade partout dans la région. Alors qu’un retour à l’activité s’amorce en Chine, certains pays durcissent leurs règles de confinement et d’autres subissent une deuxième vague d’infections. L’issue dépend pour beaucoup de la propagation du virus et de l’efficacité des mesures prises.

Priorités

Cette crise est sans précédent. Elle exige une riposte globale et coordonnée.

La priorité est de soutenir et protéger le secteur de la santé pour maîtriser le virus et de prendre des mesures qui ralentiront la contagion. En cas d’espace budgétaire insuffisant, les pays concernés devront revoir leurs priorités en matière de dépenses.

Les mesures d’endiguement frappent durement les économies. Il faut apporter un soutien ciblé aux ménages et aux entreprises les plus touchés. Face à un véritable choc économique, ce que n’était pas la crise financière mondiale, il faut protéger les populations, les emplois et les industries de manière directe et non uniquement par l’intermédiaire des établissements financiers.

La pandémie met aussi à mal les marchés financiers et leur fonctionnement. La politique monétaire devrait être utilisée à bon escient pour fournir des liquidités abondantes, réduire les tensions financières pour les industries et les petites et moyennes entreprises et, au besoin, assouplir provisoirement la réglementation macroprudentielle.

Les tensions extérieures doivent être contenues. En fonction des besoins, il faudrait mettre en place des lignes de crédit réciproque bilatérales et multilatérales et demander une aide financière aux institutions multilatérale. À défaut de lignes de crédit réciproque, des interventions sur le marché des changes et un contrôle des mouvements de capitaux pourraient être envisagés.

Des aides ciblées, conjuguées à une relance de la demande intérieure durant la reprise, contribueront à limiter les séquelles, mais elles doivent bénéficier à la population et aux petites entreprises. Les pays asiatiques ont lancé plusieurs initiatives en ce sens, comme un soutien direct au secteur de la santé et des programmes de relance budgétaire directe qui, dans certains pays avancés de la région, sont d’une ampleur bien plus vaste que les mesures qui avaient été prises pendant la crise financière mondiale. En outre, dans de nombreux pays, les autorités viennent en aide aux petites et moyennes entreprises.

Les banques centrales de la région ont décidé de fournir des liquidités abondantes, de réduire les taux d’intérêt et, pour certaines, de recourir à un assouplissement quantitatif. La Banque centrale du Japon, par exemple, a développé ses accords de pension, collaboré avec d’autres banques centrales dans le monde pour assurer un fonctionnement harmonieux du marché et pris des mesures pour faciliter le financement des entreprises.

Cela dit, des mesures supplémentaires pourraient être nécessaires dans les pays émergents d’Asie qui disposent d’une marge budgétaire limitée pour augmenter leurs dépenses. Si la situation se dégrade, de nombreux pays émergents pourraient devoir réagir « coûte que coûte », en dépit de leurs contraintes budgétaires et du fait que leurs monnaies soient dépourvues d’une dimension internationale. Dans bien des cas, il leur faudra faire des compromis.

Les responsables des banques centrales réfléchissent par exemple à l’achat d’obligations d’État sur le marché primaire pour venir au secours des petites entreprises et des ménages et éviter ainsi des vagues de licenciements et de faillites.  Plutôt que de recourir à une monétisation directe, les banques centrales pourraient se servir de leurs bilans de façon plus souple et plus énergique pour soutenir le crédit bancaire aux petites et moyennes entreprises en en partageant les risques avec l’État. Le cas échéant, un contrôle temporaire des sorties de capitaux pourrait contribuer à garantir la stabilité dans un contexte d’abondance des flux de capitaux, d’asymétrie des bilans et de possibilités limitées d’utiliser d’autres outils.

Appui du FMI

Depuis le début de l’épidémie de COVID-19, nous sommes en contact permanent avec les autorités des pays de la région pour leur offrir conseils et assistance. Le FMI dispose de plusieurs outils pour aider ses pays membres à surmonter cette crise et à en limiter le coût sur le plan humain et économique. Plus de 15 pays de la région ont manifesté leur intérêt pour nos deux instruments de financement d’urgence, la Facilité de crédit rapide (FCR)  et l’Instrument de financement rapide (IFR).

*****

Chang Yong Rhee est le directeur du département Asie et Pacifique du FMI. Avant de rejoindre le FMI, M. Rhee était économiste en chef à la Banque asiatique de développement (BAsD). Il était le principal porte-parole de la BAsD en ce qui concerne les tendances économiques et de développement, et supervisait le département de l’économie et de la recherche. Il a occupé les fonctions de secrétaire général du comité présidentiel du sommet du G20 qui s’est tenu en République de Corée. Avant sa nomination au comité de stabilité financière (CSF), M. Rhee était professeur d’économie à l’Université nationale de Séoul et professeur assistant à l’Université de Rochester. Il a également conseillé de manière régulière et active le gouvernement coréen, notamment au sein du cabinet du Président, du ministère des Finances et de l’Économie, de la Banque de Corée, du dépositaire coréen de titres et de l’Institut de développement coréen. Ses travaux de recherche portent principalement sur la macroéconomie, l’économie financière et l’économie coréenne. Il a publié de nombreux articles dans ces domaines. M. Rhee a obtenu son doctorat en économie à l’Université Harvard et sa licence d’économie à l’Université nationale de Séoul. 

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Palabras de la canciller, Claudia Blum, sobre gestiones adelantadas con los connacionales en el exterior

MIL OSI Translation. Region: Spanish/Latin America/UN –

Source: Republic of Colombia

Cordial saludo a todos los ciudadanos.

De manera especial, quiero reafirmar mi reconocimiento a embajadores y cónsules de Colombia en el exterior, por su total compromiso para asistir a nuestros connacionales.

El Gobierno Nacional, bajo el liderazgo del Presidente Iván Duque, continúa adoptando medidas necesarias para responder al impacto de la pandemia del COVID-19.

En este momento, la Cancillería tiene dos prioridades. Una es la acción internacional para concretar donaciones y apoyar adquisiciones prioritarias para nuestro país y su sistema de salud.

Otra prioridad misional es la asistencia a los colombianos en el exterior, identificando y definiendo respuestas para las nuevas necesidades fruto de la emergencia mundial por el COVID-19.

En este contexto, nuestros consulados apoyaron a 3.196 colombianos que estaban en viajes de turismo o negocios y necesitaron asistencia urgente para regresar al país ante las restricciones de ingreso definidas en Colombia y los distintos países afectados por la Pandemia.

Actualmente, y bajo la vigencia del Decreto 439 de 2020 que suspendió el ingreso de viajeros, hemos consolidado un censo de los connacionales que estando temporalmente en el exterior no alcanzaron a regresar y necesitan apoyo para su subsistencia en cada lugar.

Son 2.568 personas con diferentes necesidades, incluidas albergue y alimentación.

Con base en este censo, en el Gobierno estamos definiendo los recursos necesarios para enviarlos a la mayor brevedad posible a los consulados y embajadas.

Una vez aprobados estos recursos, la Cancillería iniciará el desembolso para que las embajadas y consulados ejecuten el plan de asistencia.

Daremos prioridad a personas más vulnerables, tales como adultos mayores, mujeres gestantes, hogares con niños y personas en situación de discapacidad.

Así mismo, con nuestras embajadas y consulados hemos estado en diálogos con distintos Gobiernos para ayudar a colombianos afectados por restricciones internacionales marítimas. Gracias a esto, han podido desembarcar connacionales en los casos de Lisboa y San Diego.

Somos conscientes de las grandes dificultades que genera la pandemia en todos los países. Por ello, el Gobierno seguirá trabajando mancomunadamente con todos los colombianos para hacer frente a esta situación.

Tenemos que seguir unidos y actuar de forma corresponsable ante este desafío que afronta la humanidad.

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Déclaration commune de M. David Malpass, Président du Groupe de la Banque mondiale, et Mme Kristalina Georgieva, Directrice générale du FMI, sur les résultats de la réunion des ministres des Finances du G-20

MIL OSI Translation. Region: France and French Territories –

Source: IMF in French

Déclaration commune de M. David Malpass, Président du Groupe de la Banque mondiale, et Mme Kristalina Georgieva, Directrice générale du FMI, sur les résultats de la réunion des ministres des Finances du G-20

le 15 avril 2020

Washington – « Nous applaudissons la décision du G-20 de donner une suite favorable à notre appel à autoriser les pays les plus pauvres du monde qui demandent un délai de grâce à suspendre le remboursement des crédits bilatéraux officiels au 1er mai. Il s’agit d’une initiative forte et rapide qui contribuera largement à protéger la vie et les moyens d’existence de millions de personnes comptant parmi les plus vulnérables. Le Groupe de la Banque mondiale et le FMI agiront sans délai pour répondre à la demande que nous fait le G‑20 d’appuyer cette initiative en collaborant étroitement avec ces pays de manière à tirer le meilleur parti de cette bouée de sauvetage. Nous avons plaidé en faveur de cette initiative liée à la dette et nous sommes déterminés à prendre toutes les mesures possibles pour venir en aide aux populations pauvres. »

Département de la communication du FMI
RELATIONS AVEC LES MÉDIAS

ATTACHÉ DE PRESSE:

TÉLÉPHONE:+1 202 623-7100COURRIEL: MEDIA@IMF.org

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Hagamos un país de huellas seguras: Cancillería se une a la conmemoración del Día Internacional para la sensibilización contra las minas antipersonal

MIL OSI Translation. Region: Spanish/Latin America/UN –

Source: Republic of Colombia

Bogotá (abr. 3/20). El Ministerio de Relaciones Exteriores se une a la iniciativa de la Oficina del Alto Comisionado para la Paz (OACP), para conmemorar el  Día Internacional para la Sensibilización de las Minas Antipersonal, que se celebra este sábado 4 de abril en todo el mundo y que fue establecido desde 2005 por la Asamblea General de las Naciones Unidas con el propósito, entre otros, de generar conciencia sobre la grave amenaza que representan estos artefactos para la seguridad, la salud y la vida de las poblaciones civiles locales, y sobre los enormes problemas humanitarios y para el desarrollo que los mismos conllevan.

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Para Colombia, como país afectado por las minas antipersonal de naturaleza improvisada, el 4 de abril se ha convertido en una oportunidad especial para rechazar su uso y solidarizarse con las víctimas de este tipo de artefactos, reconocer el esfuerzo del Gobierno nacional en materia de desminado humanitario, educación en el riesgo y asistencia integral a las víctimas.

En ese sentido, la Oficina del Alto Comisionado para la Paz, que tiene la responsabilidad de ser la máxima autoridad nacional en materia de Acción Integral contra las Minas Antipersonal, este año ha publicado el video en el que invita a los colombianos a unirse para que todos digamos “No más minas antipersonal” y así hagamos de Colombia un país de huellas seguras.

Al respecto, es pertinente destacar que de los 1.122 municipios que tiene el país, 715 municipios presentan sospecha de minas antipersonal, hasta la fecha el Estado ha entregado 391 municipios como libres de sospecha de minas, 113 de éstos durante el Gobierno del Presidente Iván Duque Márquez.

Este avance ha sido posible gracias al esfuerzo y compromiso político, técnico y financiero del Gobierno nacional para la consolidación de la Acción Integral Contra las Minas Antipersonal como una herramienta para lograr la estabilización en los territorios y la garantía de entornos seguros que permitan el desarrollo de las demás estrategias y políticas de paz territorial; al aumento y fortalecimiento de la capacidad operacional acreditada, evidenciada en 10 Organizaciones de Desminado Humanitario, dos de las cuales hacen parte de la Fuerza Pública colombiana (Brigada de Ingenieros de Desminado Humanitario No.1 del Ejército Nacional -BREDH- y la Agrupación de Explosivos y Desminado Humanitario de Infantería de Marina de Armada Nacional – AEDIM-); y a la cooperación internacional.

El 3 de diciembre de 1997, Colombia suscribió la Convención sobre la Prohibición del Empleo, Almacenamiento, Producción y Transferencia de Minas Antipersonal y sobre su Destrucción, la ratificó el 6 de septiembre del año 2000 y entró el vigor el 1 de marzo de 2001.  

El pasado 19 de marzo, el Gobierno Nacional presentó oficialmente una solicitud de prórroga para cumplir con lo dispuesto en el Artículo 5 de la Convención, que establece que todos los Estados tienen la obligación de destruir las minas antipersonal colocadas en el territorio de sus respectivas jurisdicciones, y que será sometida a aprobación en el marco de la 18° Reunión de Estados Parte de la Convención, cuya realización está prevista para el mes de noviembre en la ciudad de Ginebra.

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Гутерриш: Нет es el momento пара reducir лос recursos де ла Организацион Мундиаль-де-ла-Салуд

MIL OSI Перевод. Регион: Испания/Латинская Америка/ООН –

Источник: Организация Объединенных Наций – на испанском языке 3

Заголовок: Гутерриш: Нет es el momento пара reducir лос recursos де ла Организасьон Мундиаль де ла Салуд

Ahora m's que nunca debe apoyarse a esta Organizacion porque es absolutamente esencial para derrotar al coronavirus, asegur el Secretario General de las Naciones Unidas tras el anuncio de Estados Unidos de que suspender' los fondos a esa agencia encargada de velar por la salud p'blica mundial. "Ahora es el momento de la unidad y de que la comunidad internacional trabaje en solidaridad para detener este virus", agreg.

ПРИМЕЧАНИЕ EDITOR: Эта статья является переводом. Пожалуйста, простите нас, если грамматика и / или предложение структура не будет совершенным.

Guterres: No es el momento para reducir los recursos de la Organización Mundial de la Salud

MIL OSI Tradução. Região: Espanhol/América Latina/ONU –

Fonte: Nações Unidas – em espanhol 3

Manchete: Guterres: No es el momento para reducir los recursos de la Organización Mundial de la Salud

Ahora más que nunca debe apoyarse a esta Organización porque es absolutamente esencial para derrotar al coronavirus, aseguró el Secretario General de las Naciones Unidas tras el anuncio de Estados Unidos de que suspenderá los fondos a esa agencia encargada de velar por la salud pública mundial. "Ahora es el momento de la unidad y de que la comunidad internacional trabaje en solidaridad para detener este vírus", agregó.

NOTA DO EDITOR: Este artigo é uma tradução. Por favor, perdoe-nos se a estrutura de gramática e/ou sentença não for perfeita.

Guterres: No es el momento para reducir los recursos de la Organización Mundial de la Salud

MIL OSI Translation. Region: Spanish/Latin America/UN –

Source: United Nations – in Spanish 3

Headline: Guterres: No es el momento para reducir los recursos de la Organización Mundial de la Salud

Ahora más que nunca debe apoyarse a esta Organización porque es absolutamente esencial para derrotar al coronavirus, aseguró el Secretario General de las Naciones Unidas tras el anuncio de Estados Unidos de que suspenderá los fondos a esa agencia encargada de velar por la salud pública mundial. “Ahora es el momento de la unidad y de que la comunidad internacional trabaje en solidaridad para detener este virus”, agregó.

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Guterres: No es el momento para reducir los recursos de la Organización Mundial de la Salud

Traducción MIL OSI. Región: Español/América Latina/ONU –

Fuente: Naciones Unidas – en español 3

Título: Guterres: No es el momento para reducir los recursos de la Organización Mundial de la Salud

Ahora más que nunca debe apoyarse a esta Organización porque es absolutamente esencial para derrotar al coronavirus, aseguró el Secretario General de las Naciones Unidas tras el anuncio de Los Estados Unidos de que suspenderá los fondos a esa agencia en de velar por la salud pública mundial. "Ahora es el momento de la unidad y de la comunidad internacional comavís en solidaridad para el virus de este", agregó.

NOTA DEL EDITOR: Este artículo es una traducción. Por favor, perdónanos si la gramática y/o la estructura de oraciones no son perfectas.