Intervention du président Charles Michel lors de la session plénière du Parlement européen

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Source: Council of the European Union 2

Merci pour me donner l’occasion de m’exprimer dans un débat qui est essentiel parce qu’il fait vivre la démocratie européenne, même quand nous sommes confrontés à des circonstances dont le caractère est sans précédents, exceptionnel.

Je voudrais naturellement adresser mes premiers mots en soutien pour celles et ceux qui, directement ou indirectement, sont affectés par cette crise, par ce virus qui frappe l’Europe et qui frappe également le monde. Et comme vous l’avez fait, dire aussi nos remerciements et notre gratitude pour toutes les citoyennes, tous les citoyens, notamment sur le plan européen, qui se sont mobilisés pour accepter des restrictions tellement exceptionnelles à des libertés tellement fondamentales et tellement élémentaires qui touchent très directement l’intime de chacune et de chacun d’entre nous. Vous dire également que dans un moment tel que celui là, il ne peut y avoir le moindre doute, la moindre hésitation. La seule option possible est de se serrer les coudes, se serrer les coudes entre citoyens, entre pays, avec l’ensemble des régions dans le monde. Et c’est cela qui fonde la détermination et l’action que l’on doit, institutions européennes, mobiliser les uns avec les autres.

Je voudrais partager avec vous quelques unes des informations pour montrer de quelle manière, au départ du Conseil européen, avec les États membres, nous tentons également de prendre un certain nombre de responsabilités. Trois conseils européens par vidéoconférence ont été dédicacés à cette crise du coronavirus et à cette ambition de tenter d’améliorer considérablement, jour après jour, la manière de coordonner les actions, la manière de coopérer entre pays européens. Vous avez compris que la première ambition quand on a mesuré l’ampleur prise par cette crise, a été de travailler pour réduire la propagation du virus et donc d’encourager la prise de mesures avec des restrictions aux frontières qui ont un impact sur le fonctionnement de l’Union européenne, singulièrement du marché intérieur, avec aussi la mobilisation pour tenter de soutenir nos chercheurs, faire en sorte que l’on puisse être mobilisés sur les vaccins, sur les thérapies. C’est dans ce sens là, dans le cadre du G7, du G20, en pleine coopération avec la Commission européenne, nous tentons de mobiliser des efforts, d’encourager, au travers par exemple d’une conférence “pledging”, à ce qu’une mobilisation pour que l’on puisse le plus vite possible être en mesure de détenir sur le plan scientifique, les solutions au travers du vaccin et des thérapies.

Pour être très concret et très direct: le dernier Conseil européen a donné un double mandat à la présidente de la Commission et au président du Conseil européen, celui de travailler sur une “roadmap” qui porte à la fois sur la formulation de recommandations, de principes, de bonnes pratiques pour encourager une coordination maximum entre pays européens quand on pourra rentrer progressivement dans la phase d’”exit”, la stratégie de sortie progressive de ces mesures restrictives qui ont dû être décidées par la plupart des pays européens, avec des intensités variables, mais toujours avec une approche qui est en réalité similaire.

La deuxième partie du mandat porte sur l’idée de proposer aux chefs d’État ou de gouvernement une stratégie conjointe commune pour être en mesure progressivement, à court, moyen et long terme, de développer une stratégie de relance économique, j’ai envie de dire aussi de transformation économique parce que je suis convaincu, comme beaucoup, qu’il faudra tirer l’ensemble des leçons de cette crise et voir de quelle manière on peut aussi faire en sorte que demain il y ait plus de force, plus d’efficacité, plus de coopération, plus de capacité de travailler ensemble.

I would like to share with you what are in my opinion the four chapters for which it is very important to try to open the debate and try to take some decisions together, to take steps together.

The first priority, in my opinion, in order to succeed in such a recovery strategy is certainly the single market. How is it possible to repair the single market as soon as possible. But it’s not only that, it is also how is it possible to strengthen, to deepen the single market because it is our first strength at the European level.

It will be essential to try to consider that the European Green Deal and the Digital Agenda will be, no doubt in my opinion, the first priority. It will be a very strong leverage in order to be successful in the next months, in the next years.

I also think that it would be essential to build a very strong industrial strategy and also at the same time to consider the network of the European SMEs as a very strong pillar. It is important, it’s essential to continue to support our SMEs and to give them the possibility to build a strong strategy for the future.

Je pense aussi que la question de l’économie circulaire va devoir être développée davantage. Il y a des propositions très fortes, je le sais, qui ont été débattues déjà au Parlement européen, qui sont annoncées par la Commission européenne parce que cette force du marché intérieur, cette capacité aussi à développer davantage l’économie circulaire, à se fonder sur l’agenda digital, cette transformation au travers du changement climatique également, elle doit nous donner l’occasion d’avoir plus de capacité d’indépendance stratégique au départ de l’Union européenne. C’est aussi pour cette raison que je pense que le rôle international de l’euro doit être pris en considération: plus d’actifs européens solides participent aussi à cette capacité d’avoir cette dimension internationale pour l’euro.

The second important point is, of course, the possibility to develop a very strong strategy in order to invest, to invest massively with the current approach, with the national dimension but also with a European ambition. And it is certain that we will continue all our political efforts in order to reach an agreement regarding the next European budget.

We had the occasion to discuss a lot the last weeks, the last months, about this very difficult topic. But maybe it’s a unique occasion, the next seven years, to see how it is possible with this European budget to give some tools, some possibilities in order to develop this strong strategy, which we need for our common future.

La Banque européenne d’investissement est aussi un instrument que l’on doit utiliser. Vous savez qu’il y a quelques semaines, dans la proposition de “negobox”, avant cette crise coronavirus, j’avais plaidé fortement pour qu’on puisse augmenter le capital de la Banque européenne d’investissement pour accroître sa capacité de levier et de se concentrer sur des investissements. Il est certain que tant qu’il s’agit des investissements, il y a là une dimension de solidarité essentielle en lien avec le marché intérieur, d’ailleurs, parce qu’il va être important de garantir le level playing field et de garantir que tous les pays européens, que tous les États membres, tous les citoyens européens puissent être amenées avec la même ambition de réussir à faire en sorte que l’on puisse relever ce défi auquel nous sommes confrontés.

Le troisième point que je voudrais mentionner, essentiel à nos yeux également, est l’action extérieure de l’Union européenne. L’ambition géopolitique de l’Union européenne, plus que jamais est nécessaire pour promouvoir les valeurs auxquelles nous croyons profondément pour défendre les intérêts qui sont mises à l’épreuve.

Nous le voyons bien singulièrement ces dernières semaines et sur cette question de l’action extérieure, nous sommes très convaincus qu’un focus très spécifique en lien avec la relation avec le continent africain va être important. Je me réjouis que nous ayons pu, avec plusieurs leaders européens, avec plusieurs leaders africains, ces dernières heures, exprimer ensemble des ambitions très, très fortes à court et moyen terme. Il s’agit de soutenir davantage les systèmes sanitaires sur le continent africain, d’ouvrir à nouveau ce débat sur les dettes qui pèsent lourdement sur les capacités d’action au départ du continent africain et de faire aussi en sorte qu’à plus moyen et long terme, on ait une ambition d’investissement intelligent dans un partenariat d’intérêt mutuel avec le continent africain, dans des infrastructures en cohérence avec l’agenda digital, en cohérence avec le green deal, avec le changement climatique. Il y a là, j’en suis totalement convaincu, un intérêt mutuel, une alliance objective que l’on doit pouvoir totalement mobiliser dans les prochains mois et dans les prochaines années.

Enfin, le quatrième point que je voudrais mentionner, c’est l’exigence de poser la question de la gouvernance européenne, poser la question aussi de la résilience européenne, comment peut-on, avec le recul, tirer les leçons de cette crise pour être plus forts demain, pour améliorer des processus de décision, améliorer des processus de coopération.

J’ai l’impression que ce qui a été annoncé, et vous en avez beaucoup débattu, cette conférence pour le futur de l’Europe, peut-être dans les prochaines semaines, dans les prochains mois, quand il y aura la capacité de véritablement démarrer cette ambition là, l’espace politique, l’espace démocratique, pas seulement pour les institutions européennes et pour permettre aux citoyens européens, d’où qu’ils viennent, d’être partie prenante à une ambition commune. Comment peut-on tirer ensemble les leçons?

Enfin, il est certain que dans le cas de cette ambition de pouvoir réussir une stratégie de transformation, une stratégie de redressement, il est certain que les valeurs qui ont fondé ce projet européen, ces valeurs d’unité, de solidarité et de liberté doivent être des points de repère, doivent être des phares qui éclairent le chemin parce que nous devons aborder cette crise, nous devons aborder cette situation, nous devons aborder aussi cette capacité de relever la tête, de sortir la tête hors de l’eau en étant totalement mobilisés sur ces valeurs que l’on doit mettre en lumière, que l’on doit effectivement considérer comme étant centrales et comme étant des forces motrices.

Comme vous le voyez, il y a beaucoup de défis et je pense que l’histoire européenne a montré que c’est lorsque nous sommes confrontés au plus difficile, c’est que lorsque l’on pense que l’obstacle est insurmontable, que bien souvent on trouve la ressource pour se serrer les coudes, la ressource pour se rassembler, la ressource pour être engagés sur le terrain de l’unité, la ressource pour faire preuve de créativité. Cela va être nécessaire, nul doute qu’il y a en Europe des sensibilités, des opinions, des idées différentes sur ce qu’il faut faire à court, moyen et long terme. Je suis totalement convaincu qu’avec de l’optimisme, de la détermination et cette farouche envie de faire vivre ce cœur démocratique européen, de faire en sorte que l’on puisse faire fonctionner nos institutions parce qu’elles garantissent la légitimité de cette ambition européenne, il y aura là de la capacité de faire les pas en avant. Vous pourrez compter sur moi, sur le Conseil européen, pour maintenir un dialogue étroit avec votre assemblée, avec la Commission européenne. Merci pour ce projet de résolution qui effectivement cadre bien le périmètre du travail qui va devoir être mis en œuvre à court, moyen et long terme et vous pouvez compter sur le Conseil européen, compte tenu aussi de la réalité du Conseil européen et de ses 27 États membres qui le composent, pour être partie prenante et tenter d’avancer dans la bonne direction.

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Desde el 16 de marzo de 2020 no se permite el ingreso de viajeros a Colombia, a excepción de nacionales colombianos o extranjeros que sean residentes en el país (con visa de Migrante o Residente) y miembros del cuerpo diplomático

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Source: Republic of Colombia

Bogotá (mar.17/20). El Ministerio de Relaciones Exteriores recuerda que por disposiciones del Gobierno nacional no se permite desde el pasado 16 de marzo el ingreso de viajeros a Colombia, a excepción de nacionales colombianos o extranjeros que sean residentes en el país (portadores de visa en las categorías de Migrante o Residente) y miembros del cuerpo diplomático.

Los viajeros deben obligatoriamente diligenciar el formato habilitado por Migración Colombia: http://www.migracioncolombia.gov.co/controlpreventivocontraelcoronavirus.

Estas personas deberán permanecer en aislamiento preventivo de carácter obligatorio en su lugar de residencia u hospedaje durante 14 días. En caso de que su lugar de destino sea diferente a la ciudad de arribo, el aislamiento lo harán en el lugar final de destino.

El viajero que no cuente con los medios o no esté dispuesto a someterse a este aislamiento deberá aplazar o cancelar su plan de viaje hacia Colombia.

Los viajeros en tránsito aeroportuario podrán permanecer en el área segura de los aeropuertos mientras esperan la continuación de su vuelo, acatando las disposiciones de las autoridades aeroportuarias. Esta medida puede ser susceptible de modificación por las autoridades sanitarias y de control migratorio.

Disposiciones en materia de visas:

El Ministerio de Relaciones Exteriores a través de la Dirección de Asuntos Migratorios, Consulares y Servicio al Ciudadano informa de las medidas respecto a la expedición de visas durante la coyuntura de pandemia del coronavirus (COVID-19).

1. No serán admitidas las solicitudes de visa presentadas en los consulados independientemente de su clase o categoría. Sólo podrán ser estudiadas y eventualmente autorizadas las solicitudes de visa de cortesía con arreglo a los numerales 1, 2, 4 y 7 del artículo 11 de la Resolución 6045 de 2017.

2. Las preguntas relacionadas sobre registro de la visa y obtención de la respectiva cédula de extranjería serán atendidas por la autoridad de control y verificación migratoria y de extranjería, Migración Colombia, por lo cual el extranjero debe acudir a los canales de atención al ciudadano de esa entidad: http://www.migracioncolombia.gov.co/contactenos

3. Si el solicitante de una visa hizo algún pago por el estudio o expedición podrá solicitar la respectiva devolución.

El Ministerio de Relaciones Exteriores seguirá su trabajo en pro de la salud y el bienestar de los colombianos. Estas medidas hacen parte de las acciones de prevención y contención de la expansión del virus en Colombia.

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Une menace sans précédent pour le développement en Afrique

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Source: IMF in French

le 15 avril 2020

  • La pandémie de COVID-19 menace d’infliger des pertes énormes en vies humaines et la crise économique qui en résulte risque d’annuler les progrès accomplis récemment sur le plan du développement.
  • L’économie de la région devrait se contracter de 1,6 % en 2020 et le revenu réel par habitant devrait baisser encore plus, de 3,9 % en moyenne.
  • La priorité absolue consiste à accroître les dépenses de santé pour sauver des vies et à mettre en place des transferts sociaux en faveur des personnes dont les moyens d’existence sont bouleversés.
  • Il sera crucial de recevoir de l’aide des partenaires internationaux au développement pour répondre aux besoins de financement, y compris un allégement de la dette pour les pays les plus vulnérables.
  • Il convient d’utiliser la politique macroéconomique pour protéger les groupes vulnérables, atténuer les pertes économiques et favoriser la reprise.

L’Afrique subsaharienne est confrontée à une crise sanitaire et économique sans précédent, note aujourd’hui le Fonds monétaire international (FMI) dans son dernier rapport sur les Perspectives économiques régionales pour l’Afrique subsaharienne. La crise menace d’annuler les progrès accomplis récemment sur le plan du développement dans l’ensemble de la région et pourrait peser sur la croissance au cours des années à venir.

« Le monde fait face à un défi sans précédent, et l’Afrique subsaharienne ne sera pas épargnée », a déclaré Abebe Aemro Selassie, directeur du département Afrique du FMI. « Tout semble indiquer que la pandémie de COVID-19 infligera des pertes énormes en vies humaines et entraînera une grave crise économique. La région est confrontée à un effondrement de la croissance économique, à un resserrement des conditions financières, à une forte baisse des prix des principaux produits exportés et à de graves perturbations de l’activité économique dues aux mesures qui ont dû être adoptées pour maîtriser l’épidémie.   En conséquence, nous prévoyons maintenant pour la région une contraction de 1,6 % cette année, soit le pire résultat jamais enregistré.

« La baisse des revenus accentuera les vulnérabilités existantes, tandis que les mesures d’endiguement et la distanciation sociale menaceront inévitablement les moyens d’existence d’innombrables personnes.  En outre, la pandémie atteint le continent à un moment où beaucoup de pays ont peu de marge de manœuvre budgétaire, ce qui complique la riposte des pouvoirs publics. »

Dans ces conditions. M. Selassie appelle à prendre des mesures décisives pour limiter les coûts humains et économiques de la crise. 

« Premièrement, la priorité immédiate consiste à tout faire pour accroître les dépenses publiques de santé afin de contenir l’épidémie, quelles que soient les ressources budgétaires des pays. 

« Deuxièmement, il est crucial d’apporter une aide considérable en temps voulu. Il peut s’agir de transferts monétaires ou d’aides en nature en faveur des ménages vulnérables, y compris les travailleurs du secteur informel, ou d’aides ciblées et temporaires aux secteurs durement touchés. La capacité des pays de mettre en place une riposte adéquate dépendra dans une large mesure de leur accès à des financements concessionnels de la communauté internationale.

« Troisièmement, les politiques monétaires et financières peuvent aussi jouer un rôle important pour aider les entreprises et l’emploi. 

« Un effort coordonné de tous les partenaires au développement sera essentiel à l’appui de ces mesures prises au niveau national. Le FMI coopère étroitement avec ses partenaires (Banque mondiale, Organisation mondiale de la santé, Banque africaine de développement et Union africaine) pour riposter rapidement et efficacement à cette crise. Le FMI va fournir environ 11 milliards de dollars à 32 pays d’Afrique subsaharienne qui ont sollicité une aide au cours des dernières semaines : des décaissements ont déjà été effectués en faveur du Burkina Faso, du Gabon, du Ghana, de Madagascar, du Niger, du Rwanda, du Sénégal, du Tchad et du Togo.

« En outre, un allégement de la dette immédiat est accordé aux pays les plus pauvres et les plus vulnérables au titre du fonds fiduciaire d’assistance et de riposte aux catastrophes du FMI : des ressources peuvent ainsi être dégagées pour les dépenses de santé et de protection sociale. Avec la Banque mondiale, le FMI appelle aussi les créanciers bilatéraux officiels à alléger la dette des pays à faible revenu qui demandent un délai de grâce. 

« C’est une crise sans précédent. Et nos pays membres ont besoin de nous plus que jamais.  Avec nos partenaires, nous avons pour objectif d’aider la région à atténuer ce choc, en veillant à ce que vies et moyens d’existence ne soient pas détruits à jamais. »

 

 

 

Département de la communication du FMI
RELATIONS AVEC LES MÉDIAS

ATTACHÉ DE PRESSE: Gediminas Vilkas

TÉLÉPHONE:+1 202 623-7100COURRIEL: MEDIA@IMF.org

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Viceministro de Relaciones Exteriores presidió teleconferencia sobre coronavirus con embajadores de Colombia en el mundo

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Source: Republic of Colombia

Bogotá (mar. 17/20). El vicecanciller, Francisco Echeverri Lara, presidió la reunión con nuestros embajadores en América, Europa, Asia, África y Medio Oriente, con el objetivo de conocer la situación de los connacionales que residen o visitan diferentes países.

Durante el encuentro, el director de Migración Colombia, Juan Francisco Espinosa Palacios, explicó a los representantes diplomáticos el manejo de la declarada emergencia sanitaria en nuestro país y el apoyo que se le ha brindado a los colombianos que han llegado provenientes del exterior.

Por su parte, el Director de Talento Humano del Ministerio de Relaciones Exteriores, Lennin Hernández Alarcón, señaló las directrices del gobierno para atender la situación generada por el COVID-19 y las disposiciones establecidas para los funcionarios del orden nacional en materia de cuidados y horarios de trabajo para su bienestar y la prevención del virus.

El encuentro también contó con la asistencia de la directora de Asuntos Migratorios, Consulares y Servicio al Ciudadano, Fulvia Benavides Cotes, y otros directivos de la Cancillería, que aclararon a los embajadores los procedimientos que pueden seguir para la atención de los connacionales afuera del país.

La teleconferencia contó con la participación de los embajadores de Argentina, Brasil, Chile, Ecuador, Canadá, Nicaragua, Panamá, República Dominicana, Alemania, España, Portugal, Italia, Suiza, Sudáfrica, Egipto, China, Japón, Turquia, Malasia, Indonesia, Israel, Países Bajos, Noruega y Hungría, entre otros.

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Colombia se adhiere al Convenio de Budapest contra la ciberdelincuencia

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Source: Republic of Colombia

Estrasburgo (mar. 17/20). El 16 de marzo de 2020, Colombia depositó ante el Consejo de Europa, el instrumento de adhesión al Convenio de Budapest, que es el estándar mundial en la lucha contra la ciberdelincuencia.

Consciente de la necesidad de mejorar la coordinación y la cooperación entre los Estados, así como fortalecer las capacidades nacionales, con el fin de prevenir, detectar, investigar y enjuiciar a la delincuencia organizada transnacional en el ciberespacio, nuestro país adhiere al Convenio de Budapest con las siguientes expectativas:

– Actualizar y complementar la legislación nacional a los estándares internacionales contra la ciberdelincuencia.
– Formalizar y dinamizar los canales de intercambio de información con los países miembros del Convenio, para facilitar las investigaciones judiciales sobre hechos delictivos de carácter transnacional.
– Acceder a proyectos y programas para la transferencia de conocimientos, apoyo investigativo, soporte tecnológico y acciones conjuntas bilaterales y multilaterales.
– Mejorar la cooperación judicial internacional, avanzar en los temas de evidencia digital, y participar en las estrategias conjuntas en materia de ciberdelincuencia.

El Convenio de Budapest cuenta con 65 países miembros. En la región, también son Parte: Argentina (2018), Chile (2017), Costa Rica (2018), Panamá (2014), Paraguay (2018) y Perú (2019).

El Convenio entrará en vigor para Colombia en tres (3) meses. El texto de la Ley 1928 de 2018 se encuentra disponible en línea en:
http://www.secretariasenado.gov.co/senado/basedoc/ley_1928_2018.html

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Agenda de Madame Florence Parly, ministre des Armées_semaine 12

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Source: Republic of France in French
La République française a publié la déclaration suivante:

Agenda de Madame Florence Parly, ministre des Armées

Lundi 16 mars

10h30 : Comité exécutif du ministère des Armées – Hôtel de Brienne (Paris)

12h30 : Conseil de défense – Elysée (Paris)

18h30 : Entretien téléphonique avec Muriel Pénicaud, ministre du Travail – Hôtel de Brienne (Paris)

19h30 : Conférence téléphonique du gouvernement – Hôtel de Brienne (Paris)

Mardi 17 mars

9h : Entretien avec Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Armées – Hôtel de Brienne (Paris)

10h30 : Conseil des ministres – Elysée (Paris)

14h45 : Entretien téléphonique avec Sophie Morin, secrétaire générale de la fédération Défense de la Confédération française démocratique du travail (CFDT) – Hôtel de Brienne (Paris)

15h05 : Entretien téléphonique avec Gilles Goulm, secrétaire général de la fédération FO des personnels civils du ministère de la Défense – Force ouvrière – Hôtel de Brienne (Paris)

15h25 Entretien téléphonique avec Laurent Dutilleul, secrétaire général de la fédération Défense de l’Union nationale des syndicats autonomes (UNSA) – Hôtel de Brienne (Paris)

15h45 : Entretien téléphonique avec Virginie Parent, secrétaire générale de la fédération Défense de la Confédération générale du travail (CGT) – Hôtel de Brienne (Paris)

Mercredi 18 mars

10h30 : Déplacement au centre médical de la médecine des forces sur la base aérienne 107 – Villacoublay (Yvelines)

15h : Conseil des ministres – Elysée (Paris)

17h30 : Entretien téléphonique avec Annegret Kramp Karrenbauer, ministre de la défense de la République fédérale d’Allemagne – Hôtel de Brienne (Paris)

19h : Réunion bihebdomadaire, point de situation ministériel Covid-19 – Hôtel de Brienne (Paris)

Jeudi 19 mars

8h30 : Entretien téléphonique avec Joël Barre, délégué général pour l’armement – Hôtel de Brienne (Paris)

11h : Visite de la cellule de crise « Covid-19 » du ministère des Armées – Balard – Paris

13h30 : Entretien téléphonique avec Ank Bijleveld, ministre de la Défense du Royaume des Pays-Bas – Hôtel de Brienne (Paris)

14h30 : Entretien téléphonique avec Ben Wallace, secrétaire d’Etat à la Défense du Royaume-Uni – Hôtel de Brienne (Paris)

15h : Entretien téléphonique avec les ministres de l’Initiative européenne d’intervention – Hôtel de Brienne (Paris)

17h30 : Entretien téléphonique avec le Président de la fédération Défense de la confédération Française des travailleurs chrétiens – Hôtel de Brienne (Paris)

Vendredi 20 mars

10h : Cellule interministérielle de crise à Beauvau en visioconférence – Hôtel de Brienne (Paris)

11h : Conseil restreint de défense – Hôtel de Brienne (Paris)

15h : Déplacement au centre maîtrise radiologique, biologique et chimique de la Direction générale de l’armement (DGA MNRBC) – Vert le Petit (Essonne)

18h : Entretien téléphonique avec Frank Bakke-Jensen, ministre de la Défense du Royaume de Norvège – Hôtel de Brienne (Paris)

19h : Réunion bihebdomadaire, point de situation ministériel Covid-19 – Hôtel de Brienne (Paris)

Contacts Media :

Cabinet de la ministre des Armées

Service de presse et de communication

Tél : 01 42 19 67 16

cabinet-cc9.secretaire.fct@intradef.gouv.fr

DICoD

Centre Media

Tél. : 09 88 67 33 33

media@dicod.fr

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Agenda de Madame Florence Parly, ministre des Armées_semaine 13

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Source: Republic of France in French
La République française a publié la déclaration suivante:

Agenda de

Madame Florence Parly

Ministre des Armées

Semaine 13

Lundi 23 mars

9h : Entretien téléphonique avec le chef d’état-major de l’armée de l’air – Hôtel de Brienne (Paris)

10h30 : Entretien téléphonique avec le chef d’état-major de l’armée de terre – Hôtel de Brienne (Paris)

12h : Visioconférence avec Ben Wallace, secrétaire d’Etat à la Défense du Royaume-Uni – Hôtel de Brienne (Paris)

14h30 : Comité stratégique de l’armée de l’air – Hôtel de Brienne (Paris)

16h30 : Entretien téléphonique avec Peter Hultqvist, ministre de la Défense du Royaume de Suède – Hôtel de Brienne (Paris)

Mardi 24 mars

9h : Entretien avec Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Armées – Hôtel de Brienne (Paris)

10h : Entretien avec Maryline Gygax-Généro, directrice centrale du service de santé des armées – Hôtel de Brienne (Paris)

11h30 : Entretien téléphonique avec Harjit Sajjan, ministre de la Défense nationale du Canada – Hôtel de Brienne (Paris)

16h : Questions au gouvernement – Assemblée nationale (Paris)

Mercredi 25 mars

9h : Conseil restreint de défense –Elysée (Paris)

11h : Conseil des ministres – Elysée (Paris)

19h : Réunion bihebdomadaire, point de situation ministériel Covid-19 – Hôtel de Brienne (Paris)

Jeudi 26 mars

10h : Visite de l’Institut de Recherche Biomédicale des Armées (IRBA) – Brétigny-sur-Orge (Essonne)

12h : Visioconférence consacrée à la situation en outre-mer – Hôtel de Brienne (Paris)

15h : Entretien téléphonique avec Françoise Dumas, présidente de Commission de la défense nationale et des forces armées de l’Assemblée nationale – Hôtel de Brienne (Paris)

16h : Entretien téléphonique avec Christian Cambon, président de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat – Hôtel de Brienne (Paris)

16h45 : Entretien téléphonique avec Margarita Robles, ministre de la Défense du Royaume d’Espagne – Hôtel de Brienne (Paris)

Vendredi 27 mars

8h : Entretien avec Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Armées – Hôtel de Brienne (Paris)

8h30 : Visioconférence du gouvernement présidée par le Premier ministre – Hôtel de Brienne (Paris)

9h15 : Entretien téléphonique avec Nathalie Loiseau, présidente de la sous-commission sécurité et défense au Parlement Européen – Hôtel de Brienne (Paris)

10h : Réunion de lancement de la Task Force Takuba en audioconférence – Hôtel de Brienne (Paris)

15h30 : Conseil des ministres en visioconférence – Hôtel de Brienne (Paris)

17h30 : Entretien téléphonique avec Annegret Kramp Karrenbauer, ministre de la Défense de la République fédérale d’Allemagne – Hôtel de Brienne (Paris)

19h : Réunion bihebdomadaire, point de situation ministériel Covid-19 – Hôtel de Brienne (Paris)

Contacts Media :

Cabinet de la ministre des Armées

Service de presse et de communication

Tél : 01 42 19 67 16

cabinet-cc9.secretaire.fct@intradef.gouv.fr

DICoD

Centre Media

Tél. : 09 88 67 33 33

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Nuevo embajador de Venezuela presentó copia de cartas credenciales ante la canciller Claudia Blum

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Source: Republic of Colombia

En la reunión, la canciller Blum reiteró la decisión del gobierno de realizar con la OPS las coordinaciones que sean necesarias con miras a fortalecer la respuesta ante el COVID-19 en los puntos fronterizos.

Bogotá (mar. 17/20). Ante la ministra de relaciones exteriores, Claudia Blum, presentó copia de cartas credenciales el embajador de Venezuela en Colombia, Tomás Guanipa, designado por el presidente Juan Guaidó. Durante el encuentro dialogaron sobre la situación del vecino país y de la región frente al COVID-19.

En la reunión, la canciller ratificó al nuevo embajador la decisión del gobierno colombiano de trabajar en coordinación con la Organización Panamericana de la Salud (OPS), por razones eminentemente humanitarias y de salud. Esto, con miras a que existan intercambios de información relevante desde la perspectiva sanitaria para fortalecer la respuesta de Colombia a situación del COVID-19 en zonas de frontera.

La participación de la OPS tendrá relevancia para garantizar un flujo de información oportuno y con los estándares requeridos a las necesidades vigentes.

La ministra resaltó los llamados que el presidente Guaidó ha hecho a la comunidad internacional para que la población venezolana reciba ayuda por intermedio de la OPS y de Unicef, e indicó la importancia de que la comunidad internacional se pronuncie para que en el territorio venezolano no se impongan bloqueos al acceso de ayuda humanitaria que entidades internacionales como estas puedan canalizar para atender las necesidades de la población del vecino país frente a la crisis del COVID-19.

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Source: IMF in French

le 15 avril 2020

En période de pandémie, la politique budgétaire est essentielle pour sauver des vies et protéger les populations. Les pouvoirs publics doivent prendre toutes les mesures nécessaires , mais ils doivent veiller à en garder une trace.

Le Moniteur des finances publiques révèle les mesures d’urgence vitales que les dirigeants peuvent prendre pour sauver des vies, permettre aux individus de conserver leur emploi et leurs revenus, protéger les entreprises des faillites et créer des conditions propices à la reprise.

Jusqu’à présent, les pays ont pris des mesures budgétaires d’un montant voisin de 8 000 milliards de dollars pour endiguer la pandémie et limiter les dégâts qu’elle cause sur le plan économique.

Parmi les mesures d’urgence prises au niveau mondial figurent une augmentation des dépenses et des pertes de recettes (3 300 milliards de dollars), des prêts et des injections de capitaux du secteur public (1 800 milliards de dollars) et des garanties (2 700 milliards de dollars). Les pays avancés et les pays émergents du Groupe des Vingt sont en première ligne : leurs interventions représentent un total de 7 000 milliards de dollars. Un appui budgétaire est également assuré par les stabilisateurs automatiques, à savoir les éléments du système d’imposition et de prestations sociales qui stabilisent les revenus et la consommation, notamment les impôts progressifs et les prestations d’assurance chômage.

Principes à respecter

Les pays devraient suivre trois principes directeurs :

  • apporter en priorité une aide aux ménages pour leur garantir un accès aux biens et services de base et à un niveau de vie décent. Pour éviter des séquelles permanentes, privilégier un soutien aux entreprises viables afin de limiter les licenciements et les faillites ;
  • mobiliser des ressources de manière temporaire et efficiente et en consigner les coûts dans des rapports budgétaires pluriannuels. Les autorités devraient renforcer les principes de bonne gouvernance à la hauteur de l’ampleur des mesures prises. Il s’agit , par exemple, d’avoir une comptabilité précise, de divulguer l’information fréquemment, complètement et en temps opportun et d’adopter des procédures permettant une évaluation à posteriori et une responsabilisation . En bref, les dirigeants devraient prendre toutes les mesures nécessaires, mais veiller à en garder une trace ;
  • évaluer les risques budgétaires, en assurer un suivi et en rendre compte, car toutes les mesures n’auront pas un effet immédiat sur les déficits et les dettes. Les garanties publiques accordées sur les prêts aux entreprises, par exemple, peuvent n’avoir aucun coût initial mais pèseront sur les comptes publics si les entreprises ne respectent pas leurs obligations.

Sauver des vies à l’échelle mondiale

Pour sauver des vies, les pouvoirs publics doivent financer autant que nécessaire le renforcement des services de santé et d’urgence. Mais le défi est de taille.

  • Tout d’abord, les pays dont les capacités sur le plan sanitaire sont faibles ne peuvent pas augmenter les ressources dans ce domaine comme il le faudrait.
  • Ensuite, les restrictions en matière d’emprunt dans de nombreux pays émergents et pays en développement imposent de réorienter les dépenses vers le secteur de la santé tout en préservant les dépenses de protection sociale et les services publics essentiels (transports, énergie, communications).

    Une coordination internationale permettra de mettre au point un vaccin et des médicaments à des prix abordables dans le monde entier et de soutenir les pays dont les capacités sanitaires sont faibles, notamment par une aide, des ressources médicales et un financement concessionnel d’urgence. Comme l’a déclaré notre directrice générale dans son récent discours, le FMI est prêt à utiliser sa capacité de prêt de 1 000 milliards de dollars pour aider ses pays membres, en particulier les pays en développement à faible revenu.

    Protéger les moyens d’existence par des mesures budgétaires ciblées

    Les pratiques de distanciation sociale nécessaires pour ralentir la propagation du virus (fermeture des écoles, restaurants, centres commerciaux, bureaux et usines) ont inévitablement des conséquences économiques. Les individus et les entreprises ont besoin d’une aide budgétaire conséquente, rapide, temporaire et ciblée pour se maintenir à flot.

    La portée de ces mesures vitales, ainsi que leur conception et leur nature, dépendront des capacités institutionnelles et financières des pays.

    • Les pays avancés, qui disposent de solides systèmes d’imposition et de prestations sociales, peuvent compter sur un vaste ensemble d’instruments en matière de dépenses, de fiscalité et de liquidités pour soutenir les particuliers et les entreprises. Aux États-Unis et en Allemagne, par exemple, les mesures consistent notamment à prolonger le versement des prestations d’assurance chômage, y compris pour les travailleurs indépendants, à reporter le paiement des charges sociales et à accorder des subventions salariales aux petites et moyennes entreprises.
    • Nombreux sont les salariés, les petites entreprises et les travailleurs indépendants qui ont du mal à payer leurs factures, à rembourser leurs dettes ou à garder leurs employés. Pour les aider, plusieurs pays européens apportent de la liquidité en accordant notamment des prêts à des conditions abordables ou des garanties. La France et le Japon octroient des congés maladie ou familiaux payés par l’État aux personnes malades, isolées ou contraintes de rester à la maison pour s’occuper de leurs enfants pendant la fermeture des écoles.

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“Voy a tomar la decisión de, por un periodo de 30 días, suspender el ingreso de viajeros internacionales a Colombia”: Presidente Duque

MIL OSI Translation. Region: Spanish/Latin America/UN –

Source: Republic of Colombia

  • El Mandatario subrayó que ha sido “un defensor de que los colombianos puedan llegar” al país, pero “también creo que, dadas las circunstancias, y también ante comportamientos de algunos ciudadanos, tomar esta medida”, que “no solamente es importante en función de la prevención y de la contención, sino también de fortalecer las herramientas de pedagogía ciudadana”.

Bogotá (mar. 19/20). “Voy a tomar la decisión de, por un periodo de 30 días, suspender el ingreso de viajeros internacionales a Colombia”, anunció este jueves el Presidente Iván Duque, durante una declaración a medios periodísticos en la Casa de Nariño.

Tal medida, que “es dolorosa, pero se hace necesaria”, dijo el Mandatario,   comenzará a regir a partir del próximo lunes, 23 de marzo. Así lo indicó en su cuenta de Twitter.

“Quiero informarles a todos los colombianos: a partir de las 00:00 horas del 23 de marzo, queda prohibida la llegada de todos los vuelos internacionales de pasajeros a los aeropuertos del país, por un periodo de 30 días”.

El Jefe de Estado señaló que “hemos mantenido la línea de que los colombianos puedan llegar a nuestro país, pero también quiero ser claro: aquí necesitamos que la pedagogía se ejerza”.

Sobre ese aspecto, indicó que “nosotros vamos a utilizar las capacidades de Migración Colombia y de otras autoridades, incluyendo las secretarías de Salud municipales, para que puedan hacer el seguimiento respectivo y garantizar que las personas que han entrado en los últimos días al país, colombianos que tengan que someterse al aislamiento preventivo obligatorio, así lo estén cumpliendo”.

Reiteró que la decisión es dolorosa, pero “lo hacemos en aras de que nosotros tengamos controles mayores en nuestra sociedad”.

Insistió en que es necesaria “la colaboración de todos, de absolutamente todos” y añadió que “las autoridades harán esos controles no solamente a través medios electrónicos, sino que también se harán controles presenciales aleatoriamente”.

Subrayó que “estamos frente a una pandemia y esto requiere que todos  contribuyamos”.

Dijo, además, que “estas decisiones, sabemos que tienen implicaciones de mucho tipo, pero tenemos que hacerlas sobre la base de que los colombianos todos entendamos que esto es en serio”.

Enfatizó que ante la pandemia del coronavirus “el éxito no es dejarnos llevar por el miedo ni por el pánico, sino obrar con total conciencia”.

Recordó que él ha sido “un defensor de que los colombianos puedan llegar” al país, pero “también creo que, dadas las circunstancias, y también ante comportamientos de algunos ciudadanos, tomar esta medida”, que “no solamente es importante en función de la prevención y de la contención, sino también de fortalecer las herramientas de pedagogía ciudadana”.

El Jefe de Estado también se refirió a lo dialogado en la reciente reunión de presidentes de ProSur, con relación a tránsito en aeropuertos.

“Tuvimos una reunión de los presidentes de ProSur donde yo dije: ¿Cuál va a ser la coordinación que vamos a tener frente a las fronteras aéreas? ¿Por qué? Porque algunos países estaban cerrando sin clarificar y lo que estaba pasando era que se estaban quedando ciudadanos de esos países atrapados en los aeropuertos; entonces, lo que se buscaba era coordinación”.

Agregó que él dijo que “lo que no puede pasar es que en Colombia termine quedándose todo el mundo atrapado por decisiones que no han sido coordinadas”.

Por último, celebró que “el Presidente Lacalle haya hecho esa aclaración, porque ese fue el sentido de ese comentario”. En efecto, el Mandatario uruguayo escribió dos trinos sobre el tema en su cuenta de Twitter:

“Ante consultas que recibimos a raíz de la videoconferencia con algunos Presidentes de América del Sur, queremos aclarar conjuntamente con el Canciller @ernesto_talvi que la iniciativa del Presidente @IvanDuque fue la de coordinar entre los distintos países la repatriación de los ciudadanos latinoamericanos varados en distintos lugares. Jamás se pensó en Bogotá como centro hub de esta operación. Gracias a su iniciativa es que hemos podido avanzar en este proceso de retorno de uruguayos a nuestro país”.

Tomado de la página de Presidencia de la República de Colombia.

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